« Ce sont en fait des informations sur votre état interne dans lequel vous vous trouvez face à une situation anxiogène. Chacun a son mode de protection privilégié, réaction du reptilien face à un danger : l’inhibition, la fuite ou le combat. Tous ces modes de survie génèrent des comportements, une façon de penser, une relation au monde , aux autres et à soi-même. » Ludovic Leroux, théorie sur le nerf vague.
Au niveau physiologique, c’est effectivement le nerf vagal qui intervient, le système nerveux autonome s’active.
Une autre théorie, la théorie du nerf vagal, avance les mêmes explications que pour GTS et d’autres méthodes, le prisme est juste différents. Nous sommes gouvernés par notre biologie. Là encore la pratique GTS est puissante car elle libère le programme alors que souvent les méthodes demandent un long entrainement de déprogrammation sans forcément libérer le trauma, elles n’en sont pas moins efficaces et elles abordent un autre prisme. En tant qu’ambassadrice de cette technique GTS Concept, je me dois de vous la faire connaître. Vous n’aurez plus à faire face à telle peur ou telle autre si elle a été libérée, vous serait serein, enfin !
Pour avancer sur votre chemin de la sérénité, il est important que vous puissiez comprendre votre monde intérieur et ce qu’il se joue pour enfin changer votre monde extérieur. Se reconnecter à la vie et sortir du mode survie dans lequel vous met votre cerveau face à certaines situations anxiogènes pour vous. Et si vous ne vous libérez pas de ces modes de protections, ces modes survie, vous passerez votre temps à vous protéger et non à réaliser vos rêves. En effet, la fonction de votre cerveau est de vous protéger et il le fait parfaitement et ce souvent au détriment de ce que vous souhaitez réellement. Votre type de protection est en lien avec la façon dont vous avez appréhendé le monde, notamment dans votre enfance.
« Ce que vous avez vécu aujourd’hui n’est pas la conséquence de ce que vous avez vécu, mais de l’expérience que votre système nerveux en a faite ». Effectivement, c’est l’intensité émotionnelle qui fixe l’évènement.
Deux enfants jouent dans les vagues, ils sont pris dans une grande vague : un enfant trouve cela drôle et y retourne, l’autre est traumatisé et cours vers sa mère. Ce dernier n’aimera certainement plus se baigner dans la mer car son cerveau a enregistré : mer = danger ! Le temps passe et 20 après la personne ne fera pas le lien forcément de pourquoi il préfère aller à la montagne et pas à la mer. Le cerveau le protège mais lui fait éviter de possible belles vacances à la mer. Le cerveau nous protège de situations insécures enregistrées comme danger. Notre cerveau évalue perpétuellement si nous sommes en sécurité et quel est le risque potentiel.
Enfant vous avez dû parler devant toute la classe, pour un exposé par exemple. Des enfants ont rigolé (pas forcément par rapport à vous), vous avez ressenti de la honte : adulte vous dites ne pas avoir confiance pour parler devant un groupe. Ce n’est pas une question de confiance, votre cerveau vous protège pour ne pas revivre la honte.
Des exemples il en existe pléthore, situation d’humiliation à l’école, une relation amoureuse qui se termine mal, des brimades à la maison … votre cerveau enregistre l’émotion et fera en sorte que vous ne la reviviez plus en vous faisant éviter les situations qui pourraient être en lien.
Vous rendez-vous compte de toutes les situations que nous évitons à notre insu ? De toutes les opportunités ratées par peur de revivre une émotion « négative » ! De quoi passer à côté de votre vie.
Et c’est tellement enfoui, tellement inconscient que vous ne vous en rendez pas compte.
S’ajoute à cela l’anticipation anxieuse : il suffit de penser à l’évènement pour déclencher l’insécurité et être dans un mal être. Le cerveau ne fait aucunement la différence entre le réel et le virtuel : votre cerveau réagit donc à une réalité virtuelle et non réelle : c’est épuisant ! Ce stress, cette anxiété se manifestent alors même que nous ne sommes pas physiquement en danger : c’est le piège.
Ces expériences souvent vécues durant l’enfance ont certes engendré des réactions adaptées à l’époque mais elle ne sont plus justifiées à l’âge adulte. Nous nous laissons alors définir par nos expériences passées : elles ne doivent rester que des expériences. GTS va permettre cela en libérant la charge émotionnelle permettant alors de ne plus activer le mode survie : vous êtes enfin libéré, détaché de l’évènement et tranquille.
Combien de rêves ou d’opportunités avez-vous laisser filer à cause de ce conditionnement ?
N’en avez-vous pas assez de répéter les mêmes comportements conditionnés par un mode survie en réponse à des expériences passées enregistrées comme micro/macro traumas ? Comportements qui vous dévient de vos rêves ! Combien de personnes arrêtent de rêver car elles ne se sentent pas assez sécures !
N’est-il pas important de se reconnecter avec soi-même, à sa sécurité intérieure et éviter de se laisser perpétuellement déréguler par l’atmosphère du moment, les états des autres afin de rester leader de notre univers intérieur ?
Se persuader que tout va bien ne suffit pas : si vos pensées sont en mode « confiance » et votre corps crie »méfiance », vous n’y parviendrez jamais. La pensée positive ne suffit pour remplacer les pensées dites »négatives ». Cela peut entrainer une dissociation car en ignorant vos pensées « négatives » vous mettez sous le tapis ce que vous vivez vraiment à l’intérieur de vous, vous vous coupez de votre ressenti et d’informations primordiales, vous vous persuadez que tout va bien, vous continuez d’avancer mais à quel prix ! Cela fonctionne pareil pour les croyances, il est important de comprendre ce qu’il se cache derrière les croyances « négatives ».
Pour changer votre vie, si vous le souhaitez, cela commencera au plus profond de vous. Il est important d’apprendre à s’écouter pour reconnaître vos états intérieurs, pour écouter ce qui se joue en vous. Ce que vous vivez en vous est souvent en lien avec le passé. C’est difficile d’écouter cette insécurité, de s’y reconnecter : on a plutôt envie de l’éviter, de s’en protéger. Alors le déni, le mental sont là pour balayer sous le tapis jusqu’au jours où cela ressort violemment. Beaucoup de personnes ont peur de se reconnecter à cette insécurité, c’est pourtant la seule condition pour s’en libérer ! C’est la clé ! Il y en a qui franchiront le seuil pour rencontrer cette insécurité, la libérer et embrasser enfin la sérénité ; d’autres resteront sur le seuil, rebrousseront chemin toujours connectés à leur insécurité, toujours conditionnés par leurs expériences passées. Chacun son rythme et il est important de le respecter.
Alors si vous avez envie d’être en paix avec vous-même, avec votre histoire, franchissez le pas : appelez-moi et je vous accompagnerez sur un bout de votre chemin.